En ce dimanche, à 23 heures seulement,
Quelques fleurs printanières, qui je l’espère,
Dès le réveil, embaumeront votre regard
Et combleront ce temps volé,
Disparu comme par enchantement,
Nous installant contre notre gré
Dans une routine sous l’heure d’été…
Il nous faudra attendre le début de soirée,
Juste avant de fermer nos volets,
Pour retrouver les bienfaits
De nos instants subtilisés.
Comment ne pas profiter d’une balade improvisée,
Heureux de retrouver la nature et ses beautés ?
Aussi, bien que notre sommeil soit impacté
Nous savons, dans notre for intérieur,
Que notre vie se parera de nouveautés
Nous faisant oublier,
Les travers liés à la perte de cette heure.
Gardons le meilleur de ce bouleversement,
Puisqu’à présent,
Respirer, travailler, aimer,
Sera influencé par les douceurs portées,
De ce que l’on nomme : heure d’été !
Le 25 mars 2018
Bernie Féré